Pour avoir voulu faire son travail à l’occasion de la Journée nationale du paysan qui se tient cette année à Kaya, notre confrère Guézouma Sanogo a été violemment agressé par un élément de la garde qui assure la sécurité du président Roch Kaboré. En attendant d’en savoir plus sur les circonstances dans lesquelles cette agression, qui n’honore pas son auteur, s’est déroulée, c’est encore hélas l’occasion de dénoncer le zèle avec lequel certains gardiens de nos dirigeants exercent leur métier.
Sous nos tropiques, les agresseurs de présidents ne sont pas légion et ne sont nullement le fait de journalistes.
Bon rétablissement à notre confrère

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