Des jeunes filles apprennent à tricoter dans la région de Tenkodogo, au Burkina Faso. La pression familiale est plus forte en milieu rural pour contraindre les jeunes filles à se marier.
Le thème de la Journée internationale de la fille s’inspire cette année des 17 objectifs de développement durable. Le slogan choisi pour 2016 est « Progrès pour les filles égale progrès pour les Objectifs : ce qui compte pour les filles ».
Le bien-être, les droits fondamentaux et l’autonomisation du 1,1 milliard de filles que compte notre planète sont des éléments essentiels pour mener à bien le Programme de développement durable à l’horizon 2030. Lorsque nous avons adopté ce programme, nous avons promis aux filles une éducation et des soins de santé de qualité.
Nous nous sommes engagés à mettre fin à la discrimination et à la violence contre les files et à lutter contre des pratiques néfastes telles que les mariages d’enfants. Nous avons promis de n’oublier personne au bord de la route.
Que ce soit dans les villages, les bidonvilles ou les camps de réfugiés, ce sont trop souvent les filles qui sont laissées au bord de la route, sans alimentation digne de ce nom, sans soins de santé, sans véritable éducation et sans protection contre les violences sexuelles.
Investir dans les filles est à la fois la bonne chose à faire et une idée intelligente. Cet investissement a un puissant effet d’entraînement dans tous les domaines du développement et ses bienfaits se répercuteront jusqu’aux générations futures.
Mais ce qui ne peut être mesuré ne peut être géré. Si nous ne collectons pas les données dont nous avons besoin, nous ne saurons jamais si nos promesses sont tenues.
Nous devons nous assurer que nos initiatives profitent à toutes les filles : les filles en situation de grande pauvreté, les filles vivant dans zones rurales isolées, les filles handicapées, les filles issues des communautés autochtones, les filles réfugiées ou déplacées dans leur propre pays.
Nous avons impérativement besoin de disposer en temps voulu des données de qualité qui nous permettront de savoir où nous obtenons des résultats et où nous sommes à la traîne.
Travaillons tous avec énergie pour être sûrs que nous comptons toutes les filles, car toutes les filles comptent.
Centre d’Information des Nations Unies (CINU) Ouagadougou
Tél : (226) 25 30 60 76 / 25 33 65 03
Site web : http://ouagadougou.unic.org
E-mail : unic.ouagadougou@unic.org/cinu.oui@fasonet.bf
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Journée internationale de la fille : message du Secrétaire général de l’ONU Publié le mardi 11 octobre 2016 , lesoumis | 14 octobre 2016 - 18:26 1
Les enfants, les jeunes filles e la femme en général est de mon point de vue la marchandise la plus vendue et la plus utilisée pour chercher de l’argent. Combien de gouvernement en ont fait leur priorité ? Trop de pays ! Combien d’ONG, associations, club, partis politiques, institut, journées etc. ont été créés pour la cause ? Mais quels résultats avons-nous et combien de filles en profitent réellement. Si la femme n’ouvre pas les yeux vite, elle sera plus esclave que dans le passé. Un exemple qui me choque : les grandes dames ie celles qui ont fait les bancs et qui ont un bon statut professionnel de nos jours peuvent prendre 2 à 3 filles ou femmes à leur service à domicile depuis leur enfance ou à l’adolescence et en font de vraies esclaves maltraitées et sans véritable droit autre que les miettes entre 5.000 et 20.000 fcfa par mois perçue comme rémunération mensuelle souvent impayées. Ces dernières subissent des atrocités et injustices qu’on ne peut imaginer. Pourtant, vous avez le même le sexe et elles aspirent à être elles aussi dans un foyer heureuses avec un mari et des enfants. Donc sous prétexte d’émancipation, ces filles sont brimées, opprimées et beaucoup de gens profitent pour créer des instituts de ventilation de ces filles soit-disant avec une protection sociale.
Je dis non à cela, encourageons les familles à se refaire, se tolérer, s’entraider et c’est ça le rôle de l’action sociale et non encourager les filles et certains garçons à quitter leur famille. L’école française quoi qu’on dise aujourd’hui est entrain détruire nos familles et nous vider de la piété filiale. Je préfère ne pas aller à l’école française mais apprendre un métier dans le tas et adorer Dieu correctement si c’est pour interdire à ma mère et mon père de venir vivre avec moi, empècher mes enfants d’aller au village, faire fuir mes frères sœurs, laisser ces derniers pour aider d’autres, devenir politicien politique. Bref,
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