D’après nos confrères de Confidentiel Afrique, le divorce est consommé depuis 2016 entre l’hôtel Silmandé, un des fleurons de l’hôtellerie burkinabè et le Groupe français Golden Tulip, son mandataire gestionnaire, pour insuffisance de résultats. Le taux d’occupation de l’hôtel serait autour de 40%, très largement en deçà du niveau attendu, fixé à 80% au moment du mariage conclu en 2014. Après les inondations dont avait été aussi victime l’hôtel Silmandé en 2009, des travaux de réfection d’un montant de 11 milliards de F CFA avaient été entrepris grâce à un financement de Orabank et des privés burkinabè, dont le patron de Coris bank, Idrissa Nassa. L’aventure aura donc été de courte durée

Kaceto.net