Chers amis lecteurs, chers abonnés, chers sympathisants

Depuis bientôt deux semaines, votre quotidien d’informations générales Notre Temps n’est plus disponible dans les kiosques à journaux, les alimentations et à la vente à la criée.

Cela est consécutif à une grève déclenchée depuis le lundi 27 février 2017 par certains agents de cette entreprise de presse.

En effet, Notre Temps, qui paraît régulièrement depuis le lundi 20 janvier 2014, n’avait jamais vécu pareille situation, et est étouffé par une dette intérieure de l’administration publique qui se chiffre à quelques dizaines de millions. Nous sommes donc toujours dans l’attente du règlement des factures que quelques ministères nous doivent.

Nous passons sous silence ce que nous doit le secteur privé, où le recouvrement s’opère au compte-gouttes.

Cette situation a eu pour conséquence de mettre à mal notre précaire trésorerie. Acculés de toutes parts que nous étions, il nous a été presque impossible de faire face à nos charges d’exploitation et de fonctionnement.

Pour tenter de résoudre le problème, la Direction du journal Notre Temps a pris des mesures de suspension de parution en vue d’une meilleure structuration de l’entreprise. C’est pour ces raisons sus-citées que, depuis deux semaines, nous ne sommes plus présents dans les kiosques.

Cependant, nous donnons rendez-vous à nos lecteurs dans les prochaines semaines.

Nous présentons toutes nos excuses aux annonceurs, aux abonnés et aux lecteurs pour tout désagrément causé par cette situation.

Le directeur de publication
Boureima Diallo

Le directeur de publication

Boureima Diallo