Selon le club de la presse Occitanie, l’image d’Ali Bongo posant en classe de CE2 à Alès, diffusée par ‘’Midi Libre’’, et qui s’ajoute à d’autres déjà publiées dans le cadre de l’enquête sur les secrets de son enfance gardoise, est considérée comme inédite.

A travers ce document, le journal ‘’Midi libre’’ vient de recevoir le trophée "Révélation" décerné par le club de la presse Occitanie. En effet, indique le club de la presse Occitanie, « le 15 septembre 2016, Midi Libre vous dévoilait l’enfance secrète d’un petit garçon s’appelant Alain Bongo, écolier dans une école de la ville d’Alès (Gard) durant les années scolaires 1965-1966, 1966-1967 et 1967-1968. Un écolier, devenu ensuite Ali Bongo Ondimba et qui est aujourd’hui président de la République gabonaise ».

Selon ‘’Midi Libre’’ « Nous avions alors publié son histoire, les témoignages de ses anciens camarades de classe, de son instituteur, des preuves qui remettaient en cause la théorie selon laquelle, celui-ci aurait pu être adopté durant la guerre du Biafra ».

Et de poursuivre : « L’enquête était accompagnée de photographies, dont deux clichés scolaires, représentant l’enfant et sa classe en CP et CE1. Restait une photo inédite, celle de la classe de CE2, également retrouvée chez l’un des Alésiens qui était dans sa classe ».

Ce scoop de Midi Libre a reçu, ce jeudi 22 juin, le prix "Révélation" lors de la soirée des Trophées Fuse organisée par le Club de la presse Occitanie. Ce scoop a également été salué de "particulièrement remarquable" par le parrain et président de la manifestation, le journaliste d’investigation au journal le ‘’Monde’’ Fabrice Lhomme.

Sur cette image, indique Fabrice Lhomme « les enfants ont bien grandi depuis le CP... Alain Bongo y montre une étonnante habitude vestimentaire : la belle saison est passée et ses camarades portent vestes et anoraks. Lui pose en simple chemise. Ses anciens copains racontent qu’il était coutumier du fait. "Il pouvait aussi arriver avec un manteau l’été !", se souvient l’un d’entre eux. Ces deniers n’avaient en effet pas oublié le petit garçon plutôt discret mais original qui avait partagé leurs jeux durant quelques années ».

Ecofin