Seulement 6% du budget ivoirien a été consacré à la santé en 2015, en dessous de la norme de 15% adoptée par les chefs d’Etat de l’espace ouest-africain, indique un rapport du Mouvement ivoirien des droits humains (MIDH).

Ce rapport de recherche intitulé « le droit à la santé en Côte d’ivoire :état des lieux » est un document conjoint de Human Dignity, du MIDH et de la clinique de droit de l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po Paris).
Selon Amadou Dahou, du Programme éducation du MIDH, il vise entre autres à inciter la Côte d’Ivoire à se confirmer à son obligation de rapportage et de prendre les mesures nécessaires à la réalisation progressive des droits économiques sociaux et culturels (DESC), au renforcement de la capacité d’action de la société civile ivoirienne à plaider pour une réalisation des DESC .

Ainsi ce rapport regrette « le non-respect de l’engagement d’Abuja pris en avril 2001 par les chefs d’Etat et de gouvernement de consacrer au moins 15 % du budget national à la santé ». A titre d’exemple, M. Dahou cite l’exemple de 2015, où « la Côte d’Ivoire n’a consacré que 6% du budget national à la santé ».

Le document recommande à l’Etat ivoirien « de collecter et de mettre à disposition du public des données récentes ventilées sur la santé en Côte d’Ivoire, de continuer ses efforts vers la couverture maladie universelle pour tous et renforcer les mécanismes de protection sociale avec un accent particulier sur la prévention des maladies, d’introduire les NTICS dans la prise en charge des patients ».

Seulement 6% du budget ivoirien a été consacré à la santé en 2015, en dessous de la norme de 15% adoptée par les chefs d’Etat de l’espace ouest-africain, indique un rapport du Mouvement ivoirien des droits humains (MIDH).

Ce rapport de recherche intitulé « le droit à la santé en Côte d’ivoire : état des lieux » est un document conjoint de Human Dignity, du MIDH et de la clinique de droit de l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po Paris).
Selon Amadou Dahou, du Programme éducation du MIDH, il vise entre autres à inciter la Côte d’Ivoire à se confirmer à son obligation de rapportage et de prendre les mesures nécessaires à la réalisation progressive des droits économiques sociaux et culturels (DESC), au renforcement de la capacité d’action de la société civile ivoirienne à plaider pour une réalisation des DESC .

Ainsi ce rapport regrette « le non-respect de l’engagement d’Abuja pris en avril 2001 par les chefs d’Etat et de gouvernement de consacrer au moins 15 % du budget national à la santé ». A titre d’exemple, M. Dahou cite l’exemple de 2015, où « la Côte d’Ivoire n’a consacré que 6% du budget national à la santé ».

Le document recommande à l’Etat ivoirien « de collecter et de mettre à disposition du public des données récentes ventilées sur la santé en Côte d’Ivoire, de continuer ses efforts vers la couverture maladie universelle pour tous et renforcer les mécanismes de protection sociale avec un accent particulier sur la prévention des maladies, d’introduire les NTICS dans la prise en charge des patients ».

APA