Le bilan des tués lors des violents heurts survenus ce lundi matin à Kinshasa entre la police et des manifestants de l’opposition s’est alourdit avec dix-sept personnes décédées, selon un bilan fourni par un officiel du ministère de l’Intérieur.

Selon le porte-parole du ministère de l’Intérieur, trois des victimes sont des policiers et les 14 autres des civils.

Lambert Mende, porte-parole du gouvernement,avait plus tôt dans la journée fait état de quatre morts, dont deux policiers.

Un des organisateurs de la manifestation, Joseph Olengankoy, fait état de son coté de vingt-cinq personnes assassinées au cours des heurts survenus lorsque la police a fait usage de grenades lacrymogènes pour disperser plusieurs jeunes de l’opposition qui manifestaient dans les rues de Kinshasa en lançant des pierres aux forces de l’ordre.

Les jeunes qui cherchaient à se rendre au Palais du peuple, le Parlement, ont été devancés plus tôt dans ce cycle de violences par d’autres manifestants qui s’étaient affrontés aux forces de l’ordre aux cris de ‘’Kabila akende’’ (Kabila dégage, en lingala).

C’est à l’appel des leaders de l’opposition, notamment Moise Katumbi et Etienne Tshiskedi, que ces manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de la RDC, notamment à Kinshasa où se réunit actuellement la Cour constitutionnelle pour décider de la tenue ou non de l’élection présidentielle avant la fin de l’année.

Pour l’opposition, la présidentielle doit se tenir à la date indiquée, écartant ainsi le président Kabila qui a épuisé ses deux mandats là où le pouvoir tergiverse et penche pour un report du scrutin qui signifierait un maintien au pouvoir de Joseph Kabila.

bilan des tués lors des violents heurts survenus ce lundi matin à Kinshasa entre la police et des manifestants de l’opposition s’est alourdit avec dix-sept personnes décédées, selon un bilan fourni par un officiel du ministère de l’Intérieur.

Selon le porte-parole du ministère de l’Intérieur, trois des victimes sont des policiers et les 14 autres des civils.

Lambert Mende, porte-parole du gouvernement,avait plus tôt dans la journée fait état de quatre morts, dont deux policiers.

Un des organisateurs de la manifestation, Joseph Olengankoy, fait état de son coté de vingt-cinq personnes assassinées au cours des heurts survenus lorsque la police a fait usage de grenades lacrymogènes pour disperser plusieurs jeunes de l’opposition qui manifestaient dans les rues de Kinshasa en lançant des pierres aux forces de l’ordre.

Les jeunes qui cherchaient à se rendre au Palais du peuple, le Parlement, ont été devancés plus tôt dans ce cycle de violences par d’autres manifestants qui s’étaient affrontés aux forces de l’ordre aux cris de ‘’Kabila akende’’ (Kabila dégage, en lingala).

C’est à l’appel des leaders de l’opposition, notamment Moise Katumbi et Etienne Tshiskedi, que ces manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes de la RDC, notamment à Kinshasa où se réunit actuellement la Cour constitutionnelle pour décider de la tenue ou non de l’élection présidentielle avant la fin de l’année.

Pour l’opposition, la présidentielle doit se tenir à la date indiquée, écartant ainsi le président Kabila qui a épuisé ses deux mandats là où le pouvoir tergiverse et penche pour un report du scrutin qui signifierait un maintien au pouvoir de Joseph Kabila.

APA
Kaceto.net