La réforme du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) est mal engagée ; c’est le moins que l’on puisse dire après le refus courtois mais ferme des trois syndicats des magistrats de répondre à l’invitation de la Commission des affaires générales, institutionnelles et des droits humains (CAGIDH) de la l’Assemblée législative de transition (ALT) à des échanges sur le projet de révision du Conseil supérieur de la magistrature. Entre les syndicats et la CAGIDH, la confiance est manifestement rompue, comme cela transparait dans le communiqué ci-contre des premiers

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