Dans un communiqué publié hier 25 septembre, le gouvernement a suspendu la diffusion de nos confrères Jeune Afrique, tous supports confondus. Une décision qui sonne comme une punition après la publication le 21 septembre sur le site du magazine panafricain basé à Paris d’un article faisant état d’une grogne dans les casernes militaires. Une information que le gouvernement avait démentie.
Après RFI, France24, Libération, Jeune Afrique vient allonger la liste des organes désormais interdits de diffusion sur le territoire burkinabè.

Kaceto.net